Coup de gueule de Daniel Frisoni, formateur à l'IRTS de Lorraine de Nancy. Apparemment, il ne supporte pas la passivité! Selon lui les étudiants en formation, tout comme les travailleurs sociaux déjà en activité, doivent faire "bouger les choses, traverser les frontières, discuter avec les gens, les professionnels du multimédia, monter des projets, aller chercher l'argent disponible pour les réaliser en Europe, qui elle même ne sait pas quoi en foutre, pour monter des projets éducatifs dans l'audiovisuel!"
Le Shériff "pète un câble", à 5 ans de la retraite dit-il, il regrette quelque peu la tournure que prend l'Education en général, et l'Education Spécialisée en particulier, ici, en France (la répression n'est pas un moyen pertinent selon lui, pour éduquer). Nous devons être les acteurs et les bâtisseurs de l'Education et de l'intervention sociale de demain, mais cela dès aujourd'hui...
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